mardi 27 juillet 2010

46 doivent mourir en 48 heures,


Qu'est ce que cette boucherie va devenir, comment juger des pays qui tue des chats et des pour d'autres raison, quand nous acceptons de pareils horreur

Je ne veux pas mourir je suis fait pour aimer, c'est mon choix


La Mélancolie,
 C'est un chat perdu
Qu'on croit retrouvé.

LEO FERRE


Comment peut-on croire que cela soit indispensable?
Pourquoi ne pas les conduire à l'abattoir?


dimanche 25 avril 2010

Fin, d'un livre Fanfan,



L'amour véritable, celui qui donne
L'amour pur. Et, je prétend que nous sommes fait pour lui. Pas pour la passion.
Les histoires sont faites pour se développer.
Crois-moi, la passion chronique est un trompe l'oeil, séduisant, mais un trompe l'oeil quand même. 
Quand tu sales trop un plat, tu tues les goûts les plus subtils, lorsque tu écoutes la musique trop fort, tu ne perçois qu'une partie des notes


les grands amants sont des mélomanes de l'amour,
des gourmets du sentiment,
pas des consommateurs de  piments rouges.
La Passion n'a pas grand chose a voir avec l'amour.


En perpétuant la saison des préludes, tu ne courais aucun risque.
Tu te protèges du mal?
Mais le mal fait partie de la vie
et on mène une existence d'invertébré si on ne l'affronte pas!
L'amour exige le risque de l'échec.


Il est interdit de jouer avec le coeur d'une femme.
C'est trop beau une femme!
Crois-moi, ceux qui ne s'engagent pas ne sont que des figurants,
pas des acteurs.
Ils font honte a notre espèce
ÊTRE UN HOMME
être un privilège.
Il faut en être digne.


Retiens bien ça : la seule chose importante en ce bas monde
est de rendre une femme heureuse.
Tout le reste n'est que vanité.


Alexandre Jardin


Ève-y



dimanche 18 avril 2010

J'écris ton nom, Liberté



Sur mes cahiers d'écolier
sur mon pupitre et les arbres
sur le sable sur la neige
J'écris ton nom


Sur toutes les pages lues
sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
j'écris ton nom


Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom


Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur les l'écho de mon enfance
J'écris ton nom


Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J'écris ton nom





Sur mes chiffons d'AZUR
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom


Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom


Sur chaque bouffée d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J'écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom

Sur  la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes maisons réunies
J'écris ton nom

Sur le fruit coup en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J'écris ton nom
J'écris ton

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J'écris ton nom


Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J'écris ton nom


Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom
Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attentives
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom

Sur l'absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom



Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
je suis né pour te connaître
Pour te nommer


Liberté

Paul Eluard




mardi 13 avril 2010

Bob Dylan Sur France Culture

Bob Dylan énerve et émerveille. Ses chansons ont croisé la vie de chacun d’entre nous. Et même son histoire, il nous semble la connaître par cœur, les rages du folk à la guitare sèche, la romance avec Joan Baez, et le passage à la guitare électrique, l’influence qu’il prend sur les Beatles, Jimi Hendrix et tant d’autres. En même temps, on s’y perd un peu. L’accident de moto, il a eu lieu, ou pas ? Et la drogue, un fait d’époque, ou déjà un miroir de la nôtre ? Et cette étonnante longévité, avec conversion brève au catholicisme, ses dix-sept maisons, les disques de pur génie et ceux qui s’encroûtent.





Une histoire paradoxalement encore largement vierge. Oui, c’est notre époque, ses démons, que nous lisons quand ces gamins de vingt ans, équipés de guitare, se propulsent au cœur des mouvements noirs de 1963, la crise des missiles de Cuba, l’assassinat de John Kennedy. Et c’est Dylan lui-même qui souvent a faussé les pistes : dans ses étonnantes Chroniques, parle-t-il enfin sans mensonge ?


Ce qui n’a pas été assez fait, c’est de suivre l’invention même des chansons : à quel univers de métaphores, à quelles techniques narratives elles empruntent, depuis leur originelle filiation à Woody Guthrie. Sa relation avec Allen Ginsberg est une des clés trop souvent minorées. C’est par lui qu’il accède à Rimbaud, qui lui donne sa grammaire.


Bob Dylan, dès ses 25 ans, confronté à un déni artistique aussi exagéré et planétaire que le statut accordé pendant deux ans au chanteur protestataire qu’il ne voulait pas se contenter d’être, a appris à taire ses secrets. En le suivant sur ses routes de vie, sur ses chemins d’écriture, on ne veut pas lever ce secret, mais comprendre par quoi il nous importe.

Ce faisant, dans l’immense profusion de l’œuvre, on est amené à retraverser ces mélodies qui agrippent, aigres comme son harmonica, à découvrir des versions rares, et en retrouver le contexte. Enigme de toucher à l’universel pendant une phase si brève de sa vie et produire ces hymnes aujourd’hui encore inusables, et sans cesse avoir à réinterroger, pour soi-même et continuer, ce mystère.


François Bon

dimanche 4 avril 2010

Mes journées

Le meilleur marché que je peux faire,
c'est sur France Culture
Il n'est pas de meilleur affaire
Que de faire le plein de culture,
C'est elle qui me donne courage et fer
Elle m'aide à avancer vers le futur



mercredi 24 mars 2010

Il serait bien d'apprendre avant de jouer


Il serait bien d'apprendre avant de jouer
(Pour les voisins)

Il est possible de louer des violons, chez les luthiers (dans les magasins je ne sais pas)

Je rêves de savoir sortir un son valable d'un violoncelle depuis toujours je crois que vais tenter avec ce site

mercredi 17 mars 2010

Adieu FERRAT





"Ils étaient vingt et cent, ils étaient des milliers
Nus et maigres, tremblants, dans ces wagons plombés
Qui déchiraient la nuit de leurs ongles battants
Ils étaient des milliers, ils étaient vingt et cent

Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres
Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés
Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre
Ils ne devaient jamais plus revoir un été

La fuite monotone et sans hâte du temps
Survivre encore un jour, une heure, obstinément
Combien de tours de roues, d'arrêts et de départs
Qui n'en finissent pas de distiller l'espoir
Ils s'appelaient Jean-Pierre, Natacha ou Samuel
Certains priaient Jésus, Jéhovah ou Vichnou
D'autres ne priaient pas, mais qu'importe le ciel
Ils voulaient simplement ne plus vivre à genoux

Ils n'arrivaient pas tous à la fin du voyage
Ceux qui sont revenus peuvent-ils être heureux
Ils essaient d'oublier, étonnés qu'à leur âge
Les veines de leurs bras soient devenues si bleues

Les Allemands guettaient du haut des miradors
La lune se taisait comme vous vous taisiez
En regardant au loin, en regardant dehors
Votre chair était tendre à leurs chiens policiers

On me dit à présent que ces mots n'ont plus cours
Qu'il vaut mieux ne chanter que des chansons d'amour
Que le sang sèche vite en entrant dans l'histoire
Et qu'il ne sert à rien de prendre une guitare


Mais qui donc est de taille à pouvoir m'arrêter ?
L'ombre s'est faite humaine, aujourd'hui c'est l'été
Je twisterais les mots s'il fallait les twister
Pour qu'un jour les enfants sachent qui vous étiez [...]"

lundi 15 mars 2010

J'ai re-découvert mes cours

Il y a près de vingt-deux ans quand le père de mon fils a fermé les yeux, j'ai repris mes études.


Depuis, maintenant, un ans et demi, je classe ma bibliothèque; Je c'est que c'est long, mais ma santé ne me donne pas beaucoup d'espasce de temps libre.


J'ai re-découvert mes cours, nous n'avions pas d'ordinateur pour prendre des notes, où pour nos dissertations. J'ai rencontré mon classeur de philo, lettres, histoire et je me suis trouvée devant plus de cent quatre vingt pages de personnages comme, Caligula, Domitien, Thucide, Xénophon, Cyrus, Bacchydide, Thalès, Ionie, etc......;;,
Quellle chance d'avoir dû prendre toute ces notes à la main, quelle plaisir de les relires, de les réetudiés.(j'ai une belle écriture "modeste" et très propre dans la mise en page)


L'émission de Raphaël Enthoven sur France Culture, " Les nouveaux chemins de la connaissance" m'ont donné plus qu'envie de me ré-intérésser à la philosophie, avec gourmandise.




France culture ma radio intelligente, celle qui vous éloigne agréablement de la télévision, à l'intelligence aus ras des pâquerettes, la plûpart du temps




http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-culture2/emissions/chemins/index.php?emission_id=45060151

dimanche 14 mars 2010

Adieu

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Jusqu'à maintenant,
j'avais une force morale à toutes épreuves,
-Il faut reconnaître, que la tranquillité morale n'a pas été de la parti.
Jusqu'à maintenant
j'avais toujours un support solide à qui je pouvais parler, juste l'entendre me redonnais les forces nécessaires pour me défendre contre l'adversité,
Remond Devos et Lino Ventura réuni,
Un humour pince sans rire très fort;
Il avait toujours une phrase d'encouragement,
un mots pour Thibault
mes amis l'aimaient beaucoup,il ne jouait pas de rôle toujours égal à lui-même.
Les voir tout les deux mains dans la main, le rêve de tout jeunes mariés.
Mon idole, mon mentor, mon père, papa.

Pardon, pour les enfants qui ont faim,





Honte

Nous nous dirigeons droit vers, l 'abolition

 des libertés, du droit à la santé,
du droit à la dignité humaine, des droits
de l'homme, des acquis de la révolution
 Française via 36, 45 et 68, Etc...
Je suis choquée, en colère, affligée, mortifiée,

ulcérée et écoeurée, par le manque de réaction
envers toutes les déclarations scandaleuses
et les projets d'une ignominie telle que j'ai
l'impression de ne plus me réveiller et vivre
dans un cauchemar permanent : Perdu le
droit d'expression;
Gagner le tresse des personnes de plus de soixant ans pour la recherche d'un travail et l'épée de
Damoclès si leur recherche n'est
pas fructueuse; après plus de 38 ansde travail.
Supprimé les lunettes poux ceux quin'en pas les moyens,
Même, l'instruction des lettres est remis
en cause. Nous seront dans un monde
d'illettrés et de commerciaux;
 il n'est pas utile de comprendre juste de voir les sommes gagné.





Par Qui ? Honte Shérif de Buckingham
honte sur toi, honte de rendre le monde
triste, honte pour les enfants qui ont faim,
honte pour le monde gris.
BalavoineLeforestierMartinLuther
KingGavroche
RobindesboisabbéPierreRobespierreBloum
etc
Pardon!!!!!!!!

Merci à vous les moutons de nous avoir servi un tel personnage, merci de nousfaire faire un retour dans le passé dedeux siècles. J'avais écris ce texte
quand l'empereur avait dit le visage joyeux à des retraités :"Vous aurez la  chance de pouvoir retravailler".
Vous rendez vous compte, l'état d'esprit
qu'il avoir pour faire une déclaration de
cette sorte, à des personnes qui ont
travaillé toute leur vie et bien souvent
 à partir de la fin du certificat d'étude,
14 ans et à 65 ans "vous ne pensez pas
que vous allez vous reposez, non mais
il faut la payervotre petite retraite"
non mais!!!!!
Aucune réaction, rien pas de commentaire
tout le monde, est choqué, se battent
tellement pour arriver à ça.

On est vide, froid à l'intérieur, ils se sont tellement battu, pour tout nos droits,
à quoi cela serre de recommencer§§§§§

Pardon mais je suis fatiguée, j'ai perdu tellement d'amis, morts de fatigue,le coeur, le corps, les poumons, d'avoir trop travaillé dans des endroits
tellement sains, l'angoisse de ne pouvoir payer les factures, les impôts, les sur  impôts, les charges, les surcharges.

On mange mal, on vis mal, nos concitoyens étaient tellement chargé de rêve, ils les voient disparaissent
Voilà l'humeur des travailleurs, des pêcheurs,
des agriculteurs, etc.........