samedi 8 mars 2014

Les collines d'eucalyptus




Des lambeaux de brouillard stagnent encore au-delà de la faille rocheuse, alors que les premiers rayons de soleil effleurent déjà la cime des arbres de ce côté ci.


Soudain tel un filet de fumée, la brume monte au ciel et se fond dans les nuages, les métamorphosant en gigantesques boules de coton



Duong Thu Huong est née en 1947 au Vietnam. Depuis la parution de Terre des oublis (Sabine Wespieser éditeur, 2006), elle vit en France. Les Collines d’eucalyptus, qui paraît aux éditions Sabine Wespieser en janvier 2014, constitue avec Sanctuaire du cœur un dyptique : la romancière, hantée par le destin des enfants de ceux qui se sont battus comme elle pour des idéaux – et ne se

reconnaissent pas dans le Vietnam d’aujourd’hui –, a échafaudé deux hypothèses pour la fugue de son jeune héros. Sans cesse, et de manière déchirante, elle pose la même question : qu’avons-nous fait à nos enfants ?

Une lecture de "Les Collines d'Eucalyptus", au Marathon des "Mots" à Toulouse

http://www.lemarathondesmots.com/evenements/avril-2014-duong-thu-huong

La seule certitude que j'ai c'est d'être dans le doute de Pierre Desproges



La seule certitude que j'ai c'est d'être dans le doute de Pierre Desproges 
 Réalisation Myron Meerson 
 Mise en scène d’Alain Lenglet de la Comédie Française et 
Marc Fayet Avec Christian Gonon de la Comédie Française Musique de Jérôme Destours 
Reprise en studio du spectacle joué en mai 2010 au Théâtre du Vieux-Colombier 
Dans le cadre de la convention France Culture – Comédie Française «De vrais sketchs avec des vrais morceaux de bravoure entiers reliés entre eux par une bassesse d’inspiration qui volera au-dessous de la ceinture du moindre nain […] » annonçait 

Desproges en 1986. 
Avec ce spectacle, Christian Gonon prolonge les salves tirées par Desproges contre la médiocrité humaine. 
Extraits des Chroniques de la haine ordinaire sur France-Inter, de La Minute nécessaire de monsieur Cyclopède sur France 3 et de son livre Vivons heureux en attendant la mort, aucun des textes choisis ne fut conçu pour la scène. 
Sauf un, resté inédit, la mort l’ayant finalement pris par surprise. Prise de son/ montage/ mixage Julien Doumenc et Antoine Viossat Mise en onde Maya Boquet

http://www.franceculture.fr/player/reecouter?play=4791370